Journée de l’Afrique

Nous célébrons aujourd’hui la journée internationale de l’ Afrique,
«Commémoration de la fondation de l’Organisation de l’unité africaine, organisation régionale réunissant les pays du continent africain.
Fondée le 25 mai 1963, un an après la dissolution de l’Union africaine, son objectif était de promouvoir l’unité et la solidarité des États africains et de servir de voix collective au continent. Elle était également dédié à l’éradication du colonialisme et à la promotion de la coopération internationale.»

Le 25 mai 2019, nous semble pertinent en tant que population Afrodescendante, englobant tous les parents d’enfants d’ascendance Africaine, provenant de divers points géographiques Européens; pour appeler à une chaîne de diffusion et de solidarité pour Les Droits de l’Homme, avec une attention particulière pour Les Droits des Mineurs, en protégeant tout particulièrement leur santé.

Il s’agit en fait d’une continuité du thème de 2016 centré sur «Les Droits de l’Homme, avec une attention particulière étant accordée aux Droits des Femmes.»

Nous voulons servir de porte-parole pour lancer une campagne d’information et de sensibilisation sur les substances chimiques toxiques, présentes dans les formules de produits capillaires, conçus pour le marché dirigé aux enfants.
Ce qui viole le droit des mineurs au sein de l’Union.

Plusieurs études scientifiques démontrent que leur utilisation est dangereuse sur des corps en phase de croissance.

La directive cosmétique de l’Union Européenne stipule que tous les produits cosmétiques vendus dans l’UE doivent être sûrs, se chargeant d’interdire l’inclusion de produits chimiques cancérigènes, toxiques pour la reproduction et pour le développement. Les différentes études ont montré que certains produits contenaient des composés interdits par la législation et réglementation Européenne.
Par conséquent, ces produits ne peuvent être mis en vente en Europe.

Un autre problème survient, lorsque ces substances interdites conformément à la réglementation n’apparaissent pas sur l’étiquette du produit, alors qu’elles sont interdites par la loi et en premier lieu, et ne devraient pas être importées, encore moins appliquées sur le corps de mineurs en pleine croissance.

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Nous voulons servir de porte-parole pour lancer une campagne d’information et de sensibilisation sur les substances chimiques toxiques, présentes dans les formules de produits capillaires, conçus pour le marché dirigé aux enfants.


Ce qui viole le droit des mineurs au sein de l’Union.

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PRODUCTS

Quelques exemples concrets:

Les irritations de la peau et des yeux et les dermatites de contact sont liées aux shampooings, après-shampoings, colorations capillaires, permanentes, et sprays pour l’ utilisation de fers à lisser, etc…

Les obésogènes sont des perturbateurs hormonaux, qui modifient le métabolisme. Ils affectent le foetus et une exposition précoce pendant les premières années de vie, aura un effet durable sur le métabolisme et les cellules du corps. Ils sont également liés au diabète de type 2.
Ces perturbateurs peuvent être trouvés dans les shampooings, les après-shampoings, les démêlants, les lotions capillaires et parfums.

Développement du système reproducteur, les jeunes filles utilisant des huiles capillaires chimiques et permanentes seront plus susceptibles d’ expérimenter une puberté précoce, y compris des règles prématurées.
Les enfants utilisant des démêlants, conditionneurs et après-shampoings, contenant du placenta animal ont montré des signes de puberté dès l’ âge de 2 ans.

D’autres points importants à souligner de ces études diverses:

· Tous les produits testés contiennent des parfums chimiques.
78% contiennent des parabènes.
· 72% des produits contiennent des parabènes et du phtalate de diéthylénique.
· 84% des produits chimiques détectés ne figurent pas sur l’étiquette du produit.
· 11 produits contenaient 7 substances chimiques interdites dans l’Union Européenne.
· Les défrisants capillaires commercialisés pour les enfants, contiennent les taux les plus élevés de 5 substances chimiques interdites dans l’UE.
· Des parabènes, des parfums, les nonylphénols, et le phtalate de diéthyle sont couramment retrouvés dans les stimulateurs croissance, dans des lotions capillaires et défrisants.
· Les cyclosiloxanes ont été détectés plus fréquemment dans les produits anti-frisottis avec les concentrations les plus élevées de toute substances chimique mesurée.

À partager sans modération et nous continuerons à vous informer avec plus de détails, sur les marques à éviter en raison de leur dangerosité.

Nous envoyons un salut chaleureux à toutes les familles concernées depuis la rédaction d’Afronomadness.

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